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Péage Gelinden
Pourquoi y a-t-il une barrière devant ce bâtiment ?
Ce bâtiment était probablement un péage. Le fermier des douanes ou péager pouvait couper la route avec une barrière ou un autre barrage pour réclamer le péage aux commerçants, fermiers ou voyageurs de passage. Les revenus servaient à construire et entretenir les routes. Le droit de prélever le péage aux usagers de la route était qualifié de droit de barrière.
Amendes et mesures
La barrière coïncidait de préférence avec un obstacle naturel, comme un pont au-dessus d’un fossé, pour éviter qu’on ne le contourne. La barrière en bois ne s’ouvrait qu’après contrôle de la carriole et du chargement, et paiement du péage. En cas d’infraction, le voyageur devait payer une amende. Si le chargement était trop lourd, il devait décharger le surplus. On cassait les roues des carrioles trop larges et on confisquait les chevaux de ceux qui ne pouvaient pas payer l’amende.
Bon à savoir
Tous dans la même trace
Sur les chemins de sable, mieux valait suivre la même trace pour ne pas abîmer la route. Un forgeron veillait à ce que les essieux de toutes les carrioles aient la même largeur. La largeur d’une trace de carriole pouvait varier d’un village à l’autre. Il était donc déconseillé d’acheter une carriole dans un autre village. Sinon les autres villageois vous obligeaient à adapter votre largeur de voie chez un forgeron local.
Elément pour enfant
Payer le péage ou pas ?
Les gens à cheval et en carriole devaient s’arrêter devant cette barrière. Ils ne pouvaient continuer qu’après avoir donné de l’argent au gardien de cette maison. C’est ce qu’on appelait le péage. Faites comme si vous étiez le gardien du péage. Placez-vous devant la barrière et demandez à votre maman, papa, frère ou sœur de s’acquitter du péage pour passer.
Zollhaus Gelinden
Warum steht vor diesem Gebäude eine Schranke?
Dieses Gebäude war vermutlich ein Zollhaus zur Einnahme von Straßenzöllen. Der Zollpächter oder Zolleinnehmer durfte die Straße mit einem Schlagbaum oder einer anderen Sperre absperren, sodass er von den vorbeiziehenden Händlern, Bauern oder Reisenden Zoll einfordern konnte. Die Zolleinnahmen dienten zum Bau und Unterhalt von Straßen. Das Recht, von Straßenbenutzern Zoll einzunehmen, hieß auch Wegerecht.
Strafen und Maßnahmen
Der Schlagbaum stand vorzugsweise an einer natürlichen Barriere wie einer Brücke oder einem Kanal, sodass ein Umweg zur Zollvermeidung sinnlos war. Der hölzerne Schlagbaum öffnete sich erst, nachdem Karren und Ladung kontrolliert waren und die Zollzahlung erledigt. Bei Verstößen musste der Reisende Strafe bezahlen. War seine Ladung zu schwer, musste er das überzählige Gewicht abladen. Bei einem zu breiten Karren wurden die Räder zerschlagen. Wer die Strafe nicht zahlen konnte, dessen Pferde wurden beschlagnahmt.
Wissenswertes
Alle in einer Spur
Sandwege blieben nur heil, wenn alle Karren in derselben Spur fuhren. Darum machte ein Schmied die Radachsen von allen Karren gleich breit. Die Spurbreite der Karren konnte von Dorf zu Dorf unterschiedlich sein. Einen Karren in einem anderen Dorf zu kaufen wurde darum nicht akzeptiert. Wer es doch tat, musste die Spurbreite bei einem Schmied vor Ort anpassen lassen.
Kinderelement
Zoll bezahlen, ja oder nein?
Leute mit Pferd und Wagen mussten vor diesem Schlagbaum anhalten. Sie durften erst weiterfahren, nachdem sie dem Wächter in diesem Haus Geld gegeben hatten. Das nannte man Zoll bezahlen. Spiele du einmal den Zollwächter. Stell dich vor den Schlagbaum und lass deine Eltern oder Geschwister Zoll bezahlen, bevor sie weitergehen dürfen.