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Woonhuis Poperinge-Abele - Bokrijk

Woonhuis Poperinge-Abele

Für die deutsche Übersetzung scrollen Sie nach unten.

Frans

Maison d’habitation Poperinghe-Abele
 

La cueillette du houblon

Le houblon se cueillait à la main dans des positions inconfortables. C’était une tâche chronophage et très fatigante. La cueillette du hommel, comme on l’appelait dans la région, était liée aux saisons et avait lieu surtout en septembre. Toute la famille y participait et des journaliers de partout venaient chaque année aider les fermiers en échange d’un salaire quotidien.

Le séchage du houblon au grenier

Dans la région de Poperinghe, on continue à cultiver le houblon. La culture y connut son apogée au 19e siècle. Le houblon séché était transformé en bière. On le séchait souvent à l’extérieur au soleil et au vent, dans une dépendance (une touraille à houblon) ou au grenier. Le houblon séché était descendu sur un morceau de tissu par une trappe et piétiné. Le morceau de tissu était ensuite noué en sac et le houblon était prêt pour le brasseur.

Bon à savoir

Pourquoi y a-t-il 2 cheminées sur le toit ?

À l’intérieur, il y a une cheminée tant contre le mur extérieur droit que contre le gauche. De nombreuses autres maisons du musée en plein air n’ont que 1 cheminée. Elles ont généralement une double cheminée murale : 2 cheminées dos à dos au niveau de la division entre la cuisine et la chambre. On pouvait ainsi chauffer 2 pièces avec 1 cheminée. On ne sait pas pourquoi dans cette maison c’est différent.

Elément pour enfant

Un ensemble

Les bâtiments qui vous entourent viennent tous de différents villages. Ici, à Bokrijk, ils forment 1 seule et même ferme. La maison provient de Poperinghe, la grange de Proven et le fournil de Watou. Ce sont tous des villages de Flandre-Occidentale. Combien de bâtiments y a-t-il ? À quoi servaient-ils ? Menez l’enquête !

Duits

Wohnhaus Poperinge-Abele
 

Hopfen pflücken

Hopfen wurde per Hand in unbequemen Körperhaltungen gepflückt. Es war eine zeitraubende und sehr ermüdende Arbeit. Das Pflücken des „hommel“, wie Hopfen in der Region genannt wurde, war saisongebunden. Besonders im September war viel zu tun. Die ganze Familie pflückte mit und Tagelöhner kamen jedes Jahr von nah und fern, um den Bauern gegen einen Tageslohn ihre Mitarbeit anzubieten.

Hopfen trocknen auf dem Dachboden

In der Gegend um Poperinge wird auch heute noch Hopfen angebaut. Im 19. Jahrhundert hatte der Anbau in der Region seinen Höhepunkt. Der getrocknete Hopfen wurde in Bier verarbeitet. Das Trocknen geschah entweder im Freien durch Sonne und Wind, in einem gesonderten Nebengebäude (der Hopfendarre) oder auf dem Dachboden. Wenn der Hopfen trocken war, wurde er auf einem Tuch durch eine Dachluke heruntergelassen und mit den Füßen zusammengestampft. Anschließend wurde das Stofftuch zu einem Sack zusammengebunden und der Hopfen konnte zum Brauer.

Wissenswertes

Warum gibt es auf dem Dach zwei Schornsteine?

Sowohl an der rechten als auch an der linken Außenwand gibt es innen einen Kamin. Viele andere Häuser im Freilichtmuseum haben nur einen Schornstein. Sie haben meistens einen doppelten Wandkamin: zwei Kamine Rücken an Rücken auf der Trennwand zwischen Küche und Wohnzimmer. So konnte man mit einem Schornstein zwei Räume beheizen. Warum das in diesem Haus anders ist, wissen wir allerdings nicht.

Kinderelement

Zusammen ein Ganzes

Die Gebäude ringsum kommen alle aus verschiedenen Dörfern. Hier in Bokrijk bilden sie zusammen einen Bauernhof. Das Haus kommt aus Poperinge, die Scheune aus Proven, das Backhaus aus Watou. Das sind alles Dörfer in Westflandern. Wie viele Gebäude zählst du? Weißt du, wozu sie benutzt wurden? Geh und finde es heraus!

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