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Le papegai Booischot
Qui sera le roi ?
Celui qui parvenait à tirer sur l’oiseau en bois du papegai avec un arc et des flèches devenait roi de la confrérie des tireurs pendant un an. Celui qui était roi trois ans d’affilée devenait empereur. L’oiseau était initialement fixé à l’aile d’un moulin ou au clocher. À partir du 16e siècle, on édifia des constructions spéciales, comme ici.
Du maintien de l’ordre à la détente
Des hommes se réunissaient en confréries de tireurs dès la fin du Moyen-Âge. Initialement pour assister le seigneur pendant les guerres, puis pour défendre leur ville ou village et ses habitants. Les membres prêtaient serment et devaient soutenir l’administration locale et l’église. Ils aidaient également en cas d’incendie ou d’inondation. Chaque confrérie de tir avait ses propres us et coutumes et son saint patron, dont beaucoup tirent leur nom. Avec l’apparition des corps de police et de pompiers, elles perdirent progressivement leurs missions et devinrent des associations de sport socioculturelles avec des fêtes, des concours et des tirs du roi annuels.
Bon à savoir
Portrait de groupe
Les confréries de tireurs aimaient les portraits. Les tireurs qui en avaient les moyens faisaient appel à un peintre. Celui-ci avait pour mission de les représenter de façon élégante. Votre place sur le tableau dépendait du prix payé. Les tireurs étaient le plus souvent des bourgeois aisés. Il fallait en effet pouvoir s’offrir sa propre arme pour devenir membre.
Elément pour enfant
Petit chanceux
Ici, on organisait des concours de tir à l’arc. On accrochait un oiseau en bois orné de plumes colorées au-dessus des broches. Le tireur essayait de l’abattre avec un arc et des flèches. Il fallait des connaissances et de la chance. Il ne fallait pas bouger ! Prenez la position du tireur. Vous deviendrez peut-être le roi de la confrérie !

Vogelstange Booischot
Wer wird Schützenkönig?
Wer mit Pfeil und Bogen den Holzvogel von der Stange schießen konnte, wurde ein Jahr lang König der Schützengilde. Wer drei Mal hintereinander König war, wurde Kaiser. Ursprünglich wurde der Vogel am Flügel einer Mühle oder am Kirchturm befestigt. Ab dem 16. Jahrhundert baute man eigene Konstruktionen, auf die man schoss, wie hier zu sehen.
Vom Aufrechterhalten der Ordnung hin zum Freizeitspaß
Seit dem Spätmittelalter vereinigten sich Männer in einer Schützengilde. Anfangs, um dem Herrn in Kriegen beizustehen, später, um ihre Stadt oder ihr Dorf zu verteidigen und die Einwohner zu beschützen. Die Gildemitglieder legten einen Treueeid ab und mussten die lokale Obrigkeit und die Kirche unterstützen. Auch bei Feuer oder Überschwemmungen sprangen sie mit ein. Jede Schützengilde hatte ihre eigenen Bräuche und Rituale, einschließlich eines Schutzheiligen. Viele sind nach diesem Heiligen benannt. Durch die Entstehung von Polizei- und Feuerwehrcorps verloren die Schützengilden allmählich ihre Aufgaben und entwickelten sich zu soziokulturellen Sportvereinen mit jährlichen Schützenfesten, Schießwettbewerben und dem Vogelschießen.
Wissenswertes
Ein Gruppenbild
Schützengilden ließen sich gern porträtieren. Die Schützen, die es bezahlen konnten, standen einem Maler Modell. Dieser hatte den Auftrag, die Schützen stilvoll darzustellen. Der Platz auf dem Gemälde hing davon ab, wie viel man bezahlte. Schützen waren meistens wohlhabende Bürger. Bevor sie Mitglied werden konnten, mussten sie sich nämlich eine eigene Waffe leisten können.
Kinderelement
Ein Glücksvogel
Hier wurden Wettbewerbe im Bogenschießen veranstaltet. Oben an der Spitze wurde ein Holzvogel befestigt. Der war mit bunten Federn geschmückt. Mit Pfeil und Bogen versucht der Schütze, den Vogel herunterzuschießen. Dazu braucht es Können und Glück. Als Schütze darf man sich nicht bewegen! Nimm die Haltung des Schützen ein. Wer weiß, vielleicht wirst du ja der Schützenkönig!